Les Bougreries d’Escarpin


Par Hiranyagarbha, le Tajuk au pied tendre

Farce en deux actes et trois tableaux


Personnages

Abd Al-Halim, un barbon faisant profession de savetier

Idriss, kajiru du savetier, surnommé Escarpin

Nacer, fils du savetier

Le Pacha Sadoq

Ismée, kajira, au service de la Reine Hadda

Hadda, première épouse du pacha

Leyla, kajira, au service d’Aïcha

Aïcha, nouvelle favorite, tout juste arrivée au harem

Quelques soldats de la garde personnelle du Pacha

 

La scène est à Samarkandt, ville du Tahari, sur la planète Gor.



Note

La scène étant sur Gor, planète jumelle de la Terre, imaginée par l’écrivain américain de fantasy John Norman, un certain nombre de termes spécifiques (mesures du temps, noms d’animaux, etc.) sont utilisés dans cette pièce. Une note explicative sous la forme d’une fenêtre pop up apparaît à chaque fois qu’un terme de ce genre se présente et que vous cliquez sur le lien hypertexte en marge. Dans la liste des personnages ci-dessus, on trouve ainsi le titre de kajira (plur. kajiræ) qui désigne une esclave attachée à un maître ou à une maîtresse. L’esclave de sexe masculin se nomme kajiru (plur. kajirus) ou kajirus (plur. kajiri). J’ai préféré la première orthographe, moins latine. Une note explicative sous la forme d’une fenêtre pop up apparaît à chaque fois qu’un terme de ce genre se présente et que vous cliquez sur le lien hypertexte en marge (sauf si vous avez bloqué les fenêtres pop up) 

    Je situe par ailleurs la pièce dans le Tahari, région désertique située au sud des terres connues de la planète. Samarkandt est une ville imaginaire, conçue évidemment en souvenir de la Samarkande des Mille et Une Nuits.


Image par Wolfgang Beisswenger, Pixabay